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Pierre tombale d'occasion à Perpignan

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Comment trouver sa pierre tombale d’occasion à Perpignan ?

On vous l’assure, on a cherché, fouiné.. On a même étendu nos recherches aux départements voisins et à la région, panne sèche pour trouver des pierres tombales d’occasion ici à Perpignan.

S’il y a bien une chose dont on est certain, c’est que les cimetières de la ville n’appliquent plus de concessions perpétuelles mais de 15 à 30 ans désormais. On peut donc penser que de nombreuses concessions arrivent à terme de leurs échéances ou le sont déjà, la ville a donc déjà du mener plusieurs reprises de concessions. Ainsi, que sont devenus les monuments récupérés ?
On espère qu’ils ont pu bénéficier à d’autres familles pour les mieux conservés.

On vous invite à contacter le service communal de votre cimetière pour vous renseigner directement sur cette recherche. Si celle-ci se trouve sans suite, on vous invite à vous rendre sur notre site pour trouver un monument funéraire d’occasion qui pourra vous être livré partout en France, même à Perpignan.


Les particularités funéraires à Perpignan !

Le recours à des pleureuses durant la veillée funèbre et l’enterrement est une pratique très ancienne attestée des tombeaux égyptiens datant de 1330 avec J.-C.
Elle a perduré durant l’antiquité grecque et romaine et s’est largement diffusée aux sociétés méridionales et plus largement méditerranéennes.

Perpignan conserve donc des traces historiques de ce rite funéraire. Exclusivement exercé par des femmes, les pleureuses des morts pouvaient être rémunérées ou non. Celles qui ne l’étaient pas pouvaient être des femmes de la famille du défunt. Celles rémunérées pouvaient aller jusqu’à exercer de véritables oraisons et chants funèbres sur le mode de la lamentation.
Mais pourquoi donc ces cris ?
Deux raisons à cela. La première résulte de la crainte que l’âme du mort ne soit tentée de ne pas quitter le monde des vivants si elle ne s’estimait pas suffisamment regrettée et pleurée. Les cris des pleureuses ont donc vocation à rassurer l’âme du défunt.
La seconde raison est que ces cris éloignaient les mauvais esprits qui pourraient être tenté de s’attaquer à l’âme du défunt ou aux vivants.

À compter de la fin du Moyen Âge, les manifestations théâtralisées des pleureuses apparaissent partout comme une norme commune.
Pourtant, les cris des pleureuses auraient quittés les métropoles provinciales telles que Bordeaux, Montpellier ou encore Toulouse et Perpignan durant la première moitié du 18ème siècle.
Une manifestation du deuil tout de même perpétuée durant 3000 ans au moins !


Un peu de culture à Perpignan !

Point d’honneur à l’ancien Grand séminaire de Perpignan. Situé au coeur des quartiers historiques de la ville, rue de l’Amiral Ribeil, ce remarquable Monument Historique du XIVème siècle est classé depuis 1910. Également surnommé ensemble funéraire Saint Jean Baptiste ou “Campo Santo”, ce gigantesque cloître médiéval présentent ses galeries formant un carré dont les côtés mesurent près de cinquante mètres de longueur.

Les murs de celles-ci dévoilent d’étonnantes niches funéraires directement taillées dans le marbre des murs et surmontée d’emblèmes de la noblesse locale.
D’autres murs ont aussi leur histoire funéraire puisque ceux de l’ancien cimetière Saint-Jean comportent une suite ininterrompue de petites arcades dont chacune est un tombeau. Une disposition unique en France dont certains renferment des inscriptions latines ou romanes.

Propriété du département des Pyrénées Orientales, la visite y propose des visites guidées, libres et gratuites du 1er octobre au 30 avril de 11h à 17h30.

Adossé à la cathédrale, l’ancien grand séminaire comprend également la chapelle Saint-Jean l’Evangéliste, dite La Funeraria. Un édifice à une seule nef dont le surnom vient de la coutume espagnole selon laquelle les défunts y étaient placés dans leurs cercueils durant la nuit avant d’être mis en terre.

Si nous revenons à notre époque, le Cimetière Saint-Martin est le premier à s’être imposé comme cimetière moderne à Perpignan.
Auparavant cimetière des soldats sous l’Ancien Régime, il est agrandi après la Révolution française.


Infos atypiques à Perpignan !

Victime d’une dizaine de vols répétés sur la concession de son neveu, Brigitte Pascual décide de mener sa propre enquête et elle n’a pas lésiné sur les moyens !
Il fallait le faire… Se planquer dans le caveau d’à côté pour prendre en flagrant délit le ou la voleuse de pots de fleurs.

Dépouillée depuis presque un an, Brigitte explique que des tensions se sont créées au sein même de sa famille, s’accusant respectivement des vols sur la tombe de ce policier récemment inhumé. Pour en avoir le coeur net, elle décide un matin d’y déposer un joli pot de marguerites et, aidée de son mari et de sa fille, se cache derrière les grilles d’un caveau voisin pour attendre et démasquer le petit malin.
Comme elle l’avait prédit, sa planque donnera suite ! Quelques heures plus tard, une dame s’approche rigoureusement de la concession de son neveu, s’empare du pot et se presse de s’échapper. Seule différence, cette fois, la dame est démasquée et rapidement arrêtée grâce au film réalisé par Brigitte.

Une dame de 67 ans, visiblement aisée, réside dans une maison cocue du village voisin. La sexagénaire aurait entièrement fleuri sa somptueuse maison de ville des extérieurs jusqu’à l’intérieur en s’approvisionnant directement au cimetière.

Pourtant prise la main dans le sac, vidéo à l’appui, elle continue de nier les faits et devra répondre de ses actes prochainement devant un juge. Bah oui madame, le cimetière n’est pas un fleuriste à ciel ouvert !