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Pierre tombale d'occasion à Strasbourg

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Comment trouver sa pierre tombale d’occasion à Strasbourg ?

Là, on va pouvoir vous parler de Memorio parce que nous avons la chance de travailler avec plusieurs partenaires de la région qui aujourd’hui, et ce depuis même avant notre création, ont déjà entamé une démarche de revalorisation de monuments funéraires. À Vesoul, nous avons désormais à notre charge la revente de ces monuments issus de fin de concessions, repris par nos partenaires qui nous font confiance pour leur trouver de nouveaux acquéreurs. Ainsi, si vous recherchez un monument d’occasion proche de Strasbourg, nous y sommes bien implantés pour répondre à votre demande.

Depuis 2017, la municipalité de Vesoul met en vente des monuments funéraires repris de concessions échues de ses deux cimetières qu’elle possède. Vous pouvez accéder à leur catalogue de monuments d’occasion directement sur le site internet de la commune !
Chaque année, ce sont 35 monuments funéraires proposés à la vente et pour le moment réservés aux familles les plus modestes.
Chaque monument est dépersonnalisé et son prix ne doit pas excéder 2000€, encore un peu cher mais toujours plus accessible qu’un monument neuf, sans compter les services annexes essentiels.


Les particularités funéraires à Strasbourg !

Au lieu-dit du Struthof sur le Mont Louise, auparavant station touristique renommée et privilégiée des Strasbourgeois, c’est en 1940 que l’Allemagne annexe l’Alsace et la Moselle de fonctionnaires du Reich pour diriger les administrations, la monnaie et les usines.

L’histoire particulière de ce lieu se meurt dans le filon de granit rose repéré par le géologue colonel SS dès septembre 1940 qui poussera l’administration économique de la S.S à y créer le futur camp de concentration de Natzweiler-Struthof. L’idée étant de créer un camp de concentration proche des carrières d’extraction afin de pouvoir y exploiter les déportés.
Arrivée en provenance de Sachsenhausen en mai 41, les premiers déportés occuperont la plus grande partie des baraques du camp construite sur les flancs escarpés du Mont Louise, les travaux s’achèveront en 1943.

Seul camp de concentration sur le sol français, le site bénéficiera à l’industrie de guerre allemande. Sous la direction de l’entreprise DEST des terres et pierres allemandes, la fabrication de briques et l’extraction de pierre s’y déroulera pendant près de 4 ans.
Le granit rose y fut particulièrement exploité jusqu’en 1943 avant de basculer sur une activité industrielle de moteurs d’avion.

Très convoité par l’architecte d’Hitler, le granit rose qui viendrait à la perfection participer à l’architecture monumentale nazie.

Aujourd’hui, le granit rose est généralement utilisé dans le funéraire. Rassurons-nous, ce matériau noble qui résulte de nos monuments funéraires n’est pas extrait de ce camp, du moins, on l’espère…

Des fouilles archéologiques sont actuellement menées chaque été pour en savoir davantage sur le site.

Point porte-monnaie…
Pour les prix en moyenne appliqués dans la région, vous trouverez votre monument neuf pour une fourchette allant de 1500€ à 3500€.


Un peu de culture à Strasbourg !

Pour poursuivre sur l’histoire de ce camp précédemment évoqué, point d’honneur au Mémorial aux Héros et Martyrs de la Déportation.

Dès 1945, Bertrand Monnet, l’architecte en chef des Monuments Historiques, imagine ce projet de monument commémoratif au site de l’ancien camp de concentration de Natzweiler. C’est en Octobre 1953 que sous l’impulsion d’anciens déportés, l’Etat décide d’ériger ce mémorial à la déportation.

Pensé comme un mausolée pour milliers d’inconnus, il devient la tombe symbolique de ceux dont on ne retrouvera jamais les corps.
Officiellement inauguré par le général de Gaulle en 1960, ce phare de mémoire de 40 mètres de haut est depuis visible depuis la vallée de la Bruche et les hauteurs du Donon.
Représenté d’une flamme et d’une silhouette d’un déporté, le mémorial abrite le corps du déporté inconnu, symbole de toutes les victimes de la déportation.

Entre 1957 et 1962, plus de 1000 déportés sont exhumés d’Allemagne pour être rapatriés et inhumés à nouveau dans cette nécropole.
D’autres déportés du camp on été inhumés dans l’actuel cimetière israélite de Strasbourg-Cronenbourg.


Infos atypiques à Strasbourg !

C’est dans un cimetière de Strasbourg qu’un défunt a été inhumé dans le mauvais caveau… Le sexagénaire a été enterré dans un caveau voisin de celui de sa famille la veille de Noël. On peut comprendre qu’on déconnecte tous à la veille des fêtes de fin d’année mais la tout de même…
Durant la cérémonie des obsèques, la famille ne s’est aperçue de rien. Les tombes étant bâchées pour ne pas être endommagées, c’est la nièce du défunt, se rendant sur la concession une semaine plus tard qui s’aperçoit de l’erreur.
On peut pardonner, c’est Noël…

En parlant de mauvais caveau, il y en a une qui a passé une mauvaise nuit..
Si on imagine que les caveaux sont ouverts quelques heures précédant les inhumations, la mésaventure de cette septuagénaire est toute autre.
C’est en passant entre les tombes pour rejoindre l’une des allée du cimetière que la dalle d’un caveau datant de 1942 cède sous son poids.
Alors pardonnez nous madame, mais marcher sur la tombe d’un défunt, c’est pas très correct… Et d’ailleurs, cela peut arriver à n’importe qui puisque beaucoup de concessions n’ayant pas de monuments passent inaperçues sous nos pieds..
Enfin bon, elle se retrouve donc plongée dans le caveau, sans possibilité d’en sortir seule. Elle y passera la nuit.
Le lendemain matin, c’est après avoir entendu des cris lointains que des visiteurs du cimetière viennent finalement en secours à cette dame.
Une équipe du Grimp interviendra pour sauver la septuagénaire qui, consciente mais blessée sera transportée à l’hôpital.